Deux élections récentes, en ce beau pays de France, l’une en 2007, l’autre en 2009, ont mis en évidence l’état de ruines du champ politique, et plus précisément ce qu’il est convenu d’appeler démocratie. L’une avant que la crise qui couvait depuis longtemps n’atteigne son paroxysme, d’abord avec la « crise alimentaire », ensuite avec la « crise financière ». La première, c’était la présidentielle. La seconde, les européennes. La première (...)