Dans les interventions d’Oskar Lafontaine, il y a toujours cette envie d’en découdre. Sans que l’on sache vraiment ce qui compte le plus pour l’ancien patron des sociaux-démocrates (SPD), aujourd’hui chef de file de Die Linke, le parti de la gauche radicale allemande : remporter une bataille ou jouer les trouble-fête, à quelques semaines des élections législatives du 27 septembre.
Le revoilà qui bat les estrades électorales en Sarre, un petit Land de (...)