On me pardonnera l’audacieuse métaphore qui suit, mais en contemplant le paysage à gauche, je ne peux m’empêcher de penser à ces dilemmes cornéliens qui ont fait les délices de nos études. Un certain romantisme en moins puisque, dans notre petit théâtre, la froide raison politique a tendance à remplacer les passions amoureuses. Mais, au fond, la tragédie est la même. Et, comme chez Corneille, c’est le personnage le plus fragile qui est le plus convoité. En (...)