1) Le problème majeur de la période de crise profonde du capitalisme que nous traversons n’est pas le manque de combativité d’un mouvement ouvrier mais l’absence de toute perspective alternative au mode de production capitaliste qui voue les luttes à se réduire à une guérilla incessante contre le capital. Croire qu’une telle perspective découlera naturellement du mouvement des luttes, c’est se tromper radicalement. L’histoire enseigne au contraire que les (...)

Il y aurait mille choses qu’il faudrait intégrer à votre réflexion.

D’abord on ne comprend pas pourquoi les bénéficiaires de ce système ne seraient pas près à tuer tout le monde pour le conserver, même et surtout dans le cas d’un mouvement de masse pacifique et largement majoritaire.

Ensuite il faut bien reconnaître que l’être humain forgé par le capitalisme reconnait des valeurs telles que l’égoïsme, la violence, etc. qui s’opposeront toujours à des mouvements sociaux égalitaires et coopératifs.

Je manque de place et de temps pour approfondir mais votre réflexion, par ailleurs intéressante, me parait tout à fait incomplète et inefficace.