Les temps se suivent et parfois se ressemblent, parce que l’indifférence au malheur et au désespoir est un ingrédient qu’on ne peut et qu’on ne veut pas éradiquer. On n’aime pas parler de suicide, de mort et encore moins de la manière et des moyens d’y arriver… Sentiment de gêne, sensation d’être dérangé par des mots qui frappent, peut-être… Mais cela va plus loin que les mots. Car derrière les mots se cachent des histoires vraies. Laissons (...)