Tous les dénis gouvernementaux n’y pourront rien changer : la transformation de la Poste en société anonyme constitue un démantèlement du service public et le premier pas vers sa privatisation. Que dans un premier temps le capital reste détenu à 100% par l’Etat ne change rien à l’affaire. Chaque fois que le pouvoir a effectué ce type d’opération, il a ensuite fait entrer des capitaux privés dans la société anonyme, avec les conséquences que l’on sait : (...)