Sarkozy avait vendredi 25 septembre une double raison de crier victoire. D’abord, parce qu’il n’avait pas proposé grand-chose de concret et qu’entre ce pas grand-chose et le presque rien qui est sorti de la réunion du G20 à Pittsburgh, il pouvait se vanter d’avoir amené le G20 sur ses positions. Ensuite, parce que le programme néolibéral a été réaffirmé avec force à Pittsburgh et que les intérêts des 0,1 % les plus riches de la population que Sarkozy défend, (...)