La dictature a fait du Honduras une immense prison où les nuits sont mises à profit par des meutes de policiers et de militaires qui perquisitionnent, torturent et pillent.
La nuit, au Honduras, seule la terreur circule dans les rues : bottes, casques et uniformes. La nuit, des véhicules de militaires et de policiers cagoulés patrouillent les rues, tirant sur les quartiers et les maisons. Ils sortent à grande vitesse des commissariats pour revenir peu après avec leurs camionnettes pleines (...)