Frédéric. Dans la rue, il n’y a aucune morale. La seule chose qui compte, c’est le respect de l’autre. Or les gens de la rue ont été blessés par la société, et jusqu’à la fin de leurs jours. Il ne faut pas l’oublier, et je m’aperçois d’une chose, moi qui fréquente de plus en plus la rue, c’est que tout l’individualisme qu’on peut avoir ici, on le perd à partir du moment où on est dans la rue, on retrouve un instinct de solidarité (...)