Le Gouvernement constitutionnel de la République du Honduras, face à la violation flagrante par le régime de facto de ses engagements pris lors de la signature le 30 octobre de l’accord Tegucigalpa/San José, condamne son projet de mettre en place unilatéralement un « Gouvernement d’Unité et de Réconciliation Nationale », présidé par le chef d’État de facto Roberto Micheletti lui-même, abusant ainsi de la bonne foi dont ont fait preuve le président Zelaya et la Communauté (...)