Après les films d’Al Gore (Une vérité qui dérange, 2006) ou de Yann Arthus-Bertrand (Home, 2009), le dernier film de Nicolas Hulot et Jean-Albert Lièvre interroge une nouvelle fois les limites d’un système qui conduit à la destruction de la planète.
Sur le plan cinématographique, l’enchaînement de plans fixes ne rend guère le rythme du film palpitant. De nombreuses images sont déjà bien connues (explosion d’une bombe nucléaire, défilés de bidonvilles ou (...)