Camille Pouzol – Nul ne peut nier que l’image du Che est devenue actuellement un phénomène de commercialisation, néanmoins, y en a-t-il pour vous des aspects positifs ? Et que pensez-vous des films comme celui de Soderbergh [1] qui jouent sur un double aspect : volonté de faire découvrir le Che au grand public et en même temps générer du profit ?
Michael Löwy : Nous ne pouvons pas parler d’aspects positifs, il s’agit simplement du symptôme d’un intérêt, (...)