lundi 30 novembre 2009
par François Delapierre, secrétaire national du Parti de Gauche
C’était l’argument numéro un des partisans du projet de Constitution européenne puis du traité de Lisbonne. Ceux-ci contenaient des « avancées institutionnelles » à ne pas laisser passer. Principal acquis, la nomination d’un président permanent de l’Union et d’un haut représentant pour les affaires étrangères et la politique de sécurité. Le premier serait le « visage » de l’Europe, un chef capable de faire partager sa vision à des citoyens craintifs et (...)