En 2007, la gauche a échoué dans une élection présidentielle qui, au début de la campagne, était réputée impossible à perdre pour elle. Et dans les deux ans et demi qui ont suivi, on a pu mesurer que le mal, de son côté, était profond. Derrière l’étalage des rivalités de personnes et les coups médiatiques, le parti dominant à gauche, le PS, apparaît déboussolé, plus qu’hésitant à clarifier son projet. Comme les Verts enrôlés sous la bannière d’Europe Écologie, certains de (...)