samedi 3 décembre 2011
par Brigitte Blang (BN du PG)
C’était un matin d’avril en 2002. En passant à Ramatuelle, il avait fallu chercher le cimetière, et la tombe. Une tombe envahie d’herbe folle, et une pierre blanche, où déjà l’inscription ne se devinait qu’à peine. Mais l’émotion était intacte. Et les souvenirs aussi.
Au panthéon des inoubliables fulgurances, il reste quelques figures comme la sienne, ange blanc chez Vilar, éternel amoureux sur les écrans, et puis cette collection qui habitait les (...)