Le moins que l’on puisse dire, c’est que par son enjeu – l’avenir de la planète – et par sa dimension – 192 pays réunis dans une même enceinte, mais aussi des milliers de militants de la société civile –, le sommet de Copenhague sur le climat a une forte légitimité à occuper la une de nos journaux. Il y a cependant toujours quelque chose de troublant quand un événement vampirise tout. Et quand nous autres, journalistes, sommes priés de revêtir (...)