Il est des coïncidences des plus significatives. Le hasard a voulu qu’en 2006 et 2007 je me consacre en parallèle à deux chantiers de recherche différents.
L’un, portant sur les manifestations de mai et juin 68, était tourné vers un passé maintenant distant de quatre décennies. L’autre, consacré aux militants du Réseau éducation sans frontière (RESF), était on ne peut plus contemporain[1]. Pas grand-chose de commun entre ces deux objets, si ce n’est que tous deux (...)