Après l’échec du Copenhague institutionnel et la vivacité du Copenhague mouvementiste, on peut être tenté de se tourner vers la vitrine du marketing électoral d’Europe Ecologie. La bonne nouvelle ne viendrait-elle pas plutôt, et paradoxalement, d’un vieux routier de l’industrie hollywoodienne, James Cameron, avec son « Avatar » ?
En 1998, dans « Une envie de politique » (La Découverte), passé alors du statut d’icône soixante-huitarde à celui (...)