dimanche 17 janvier 2010
par Alexis Corbière (porte-parole de Jean-Luc Mélenchon)
Un mot sur le décès de Philippe Séguin. La mort brutale d’un homme est une triste nouvelle. Et celui-ci avait une sacrée trempe, il laissera sans doute une trace. Il faisait partie de ces grandes figures de la droite française, qui enrichissaient le débat national. Tous les médias répètent qu’il avait voulu, (mais cela existe-t-il en réalité ?) continuer à faire vivre l’idéal du « gaullisme social », sans que les mêmes médias définissent de quoi il s’agit (...)