En créant l’Observatoire des sondages, avec quelques amis, je savais fort bien que l’entreprise comportait des risques. Mon expérience avait suffisamment démontré que la critique des sondages soulevait l’hostilité des sondeurs. Combien de fois, n’ai-je été traité d’incompétent ou d’escroc, en public ou en coulisses ? Comment tourneraient les choses quand la critique ne serait plus ponctuelle au détour d’un article ou d’un livre mais avec la (...)