Le débat sur l’identité nationale aura tendu à enfermer la notion même de référence nationale dans un piège dont il est urgent de la libérer pour lui restituer la valeur démocratique et même révolutionnaire qu’elle a acquise au fil des luttes et que la mondialisation capitaliste rend plus actuelle que jamais à condition d’en élucider l’approche et, comme cela s’était déjà posé à propos du procès du souverainisme, de tordre le cou à toutes les confusions (...)