L’HORLOGE COMTOISE
Mercredi matin, train pour la descente vers le sud. La lecture de la presse et des fiches pour la journée dévore mon temps et j’ai à peine le temps d’écrire. A l’arrivée le comité des camarades a le sourire un peu crispé car il va falloir rallier très vite le point de rendez vous et tout le monde sait que j’ai horreur de la voiture et de la vitesse. Moi j’aurai mauvaise grâce à raller car tous ont un métier et prennent sur leur temps (...)