Le Front national dispose de réelles réserves de voix chez les abstentionnistes. C’est l’une des principales leçons à tirer du second tour des élections régionales du 21 mars.
Jérôme Fourquet, directeur adjoint du département opinions de l’IFOP, s’est livré, en partenariat avec l’université de Rouen, à une analyse fine du vote frontiste par canton. Le résultat de leur étude est clair : "Dans 22 départements, sur la cinquantaine où il était présent pour des (...)