Mi-juin 68, le mouvement est pratiquement terminé en Aveyron. Je "monte" sur Paris pour 3 jours avec René Duran, Danielle Misrahi et sa mère, Madame Salvan. Je dors dans l’appartement du ruthénois Jean François Marion. La Sorbonne est occupée par les CRS mais ni Censier, ni la Halle aux Vins (sciences). Dans ces facs occupées, on peut lire des slogans sur les murs mais aussi des textes affichés ici et là. C’est ainsi que je découvre le poète Maïakowski (1893-1930, né (...)