Si quinze journalistes avaient été assassinés à Cuba, au Vénézuéla ou en Colombie, nous aurions droit chaque jour sur chaque chaîne de télé et sur chaque radio à une campagne "d’information" sur le sujet. Malheureusement, cela se passe dans un dictature militaire putschiste fascisante managée par les USA, et avec laquelle l’Union européenne entretient de bonnes relations. Alors : que meurent les journalistes ! que baratine le président hondurien Lobo pour faire oublier le sang (...)