Le gouvernement, le Medef, les grands médias toujours aussi prompts à dénoncer les « prises d’otages » lors de chaque grève à la SNCF n’ont pas un seul mot pour condamner la gigantesque prise d’otages des salariés grecs par les spéculateurs, habillés du nom plus aimable d’ « investisseurs » ou de « marchés financiers ».
Tout y est pourtant : depuis la prise d’otages de gens innocents jusqu’au chantage sans cesse plus pressant pour augmenter le montant de (...)