Une enseignante grecque de 42 ans, mère de deux enfants reçoit un salaire de 1120 euros par mois, soit 1601 francs. Depuis mars 2010, un bonus de 208 euros (400 francs), pour ses diplômes en langues étrangères, lui a été enlevé : « On va aussi me retirer l’allocation que je perçois pour les enfants. ». Elle conclut : « Ce n’est pas moi qui ai vidé les caisses de l’Etat, pourquoi devrais-je les remplir ? » Syndiquée, elle déclare au quotidien français La Croix (4 mai 2010) (...)