Le procès de Jérôme Kerviel, trader à la SG, a un mérite. Il remet sur le devant de la scène des questions autour des opérations qui se sont développées depuis 30 ans dans la sphère financière.
Bien entendu, aucune des postures en présence dans ce procès ne permet d’éclairer utilement les questions posées par le développement du trading et de la financiarisation. Ni la thèse de Kerviel, ni celle de la Société Générale.
La première des questions relève des politiques de contrôle. (...)