Vous n’avez pas pu l’ignorer : l’heure est grave. Nos retraites sont menacées, l’euro est assiégée, notre dette est immense et compromet non seulement l’avenir de nos enfants et petits enfants, mais même, rendez-vous compte, le nôtre. La faute à qui ? Aux vilains « marchés » et à l’héritage de la gauche, dit la droite. À la gestion lamentable de la droite et aux vilains marchés, dit le Parti Socialiste. Comment s’en sortir ? En se serrant la (...)