Denise Comanne (1949-2010) a mis la dernière main à ce texte le 27 mai 2010, soit la veille de son décès survenu suite à un accident cardio-vasculaire alors qu’elle venait de quitter une conférence commémorant le cinquantenaire de l’indépendance du Congo. [1]. Elle comptait encore améliorer ce texte dans le cadre du travail collectif entrepris par le CADTM afin de renforcer son engagement féministe.
L’oppression des femmes est très ancienne [2] : elle préexiste au (...)