La bêtise ou l’ignorance n’a pas de limites, mais elle a au moins un nom : Guy Sorman. Sa diatribe contre le communisme à l’occasion du procès - justifié, je le précise - d’un responsable des crimes des Khmers rouges (Le Monde du 10 août) témoigne d’une radicale incompréhension du projet de Marx, faute sans doute de s’être un tant soi peu renseigné à ce propos.
Une remarque préalable : sauf à verser dans le nominalisme qui fait du mot la chose, ce (...)