C’est avec stupeur et indignation que j’ai pris connaissance du discours que vous avez prononcé le 30 juillet dernier à Grenoble.
Ce jour là, vous avez affirmé que : « La nationalité française puisse être retirée à toute personne d’origine étrangère qui aurait volontairement porté atteinte à la vie d’un policier, d’un gendarme, ou de toute autre personne dépositaire de l’autorité publique ».
Stupéfait et indigné parce que votre déclaration va totalement (...)