Tous les patrons ne sont pas comme ça, heureusement. Mais celui-là bat tous les records : il ne crée rien, ne produit rien, ne fait que se glisser dans les mailles d’un système pour exploiter près de trois cents femmes qu’il utilise pour faire le ménage dans les grandes chaînes d’hôtels.
Il les choisit si possible africaines, ne sachant pas lire ni défendre leurs droits, et il les « place ». Il prétend qu’il apporte une « valeur ajoutée » grâce à des « gouvernantes (...)