En ces temps jugés difficiles, la IIIe République et ses grandes figures, philosophiques notamment, sont souvent sollicitées par certains de nos contemporains qui pensent pouvoir y trouver des conceptions susceptibles d’aider à la résolution des problèmes.
Démarche classique, légitime et utile que compromettent hélas parfois des approches partielles qui contribuent à faire de ce passé un passé édifiant peuplé de fondateurs prestigieux dont l’étude confine à l’apologie. (...)