L’immunologue Jean Claude Ameisen expose dans « La sculpture du vivant ou le suicide cellulaire, une mort créatrice » :
« Rien – ou presque – de ce qui émerge au cours de la longue histoire du vivant n’est de nature définitive. L’ évolution est une succession infinie d’accidents, construisant, déconstruisant et reconstruisant, sans cesse, faisant naître de la nouveauté. (…) Essayons d’imaginer des accidents qui auraient pour effet de délivrer (...)