Manque de greffiers, de magistrats : les tribunaux des prud’hommes engorgés mettent de longs mois, souvent des années, pour juger et faire respecter le droit du travail. Des justiciables attaquent l’État pour délais excessifs.
Le vent de révolte qui secoue la magistrature ces jours-ci n’épargne pas la justice du travail. Jeudi dernier, déjà, les conseillers prud’homaux, ces juges non professionnels issus du monde de l’entreprise, chargés de régler les (...)