La révolution arabe est commencée. Et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Ni les islamistes, ni les Américains, ni aucun autre gouvernement. Bientôt, c’est Kadhafi, le grand « ami » de la France de Sarko et de Bouygues, qui tombera. Il ne peut en être autrement, car un peuple qui s’érige de la sorte en souverain, après des décennies de dictature à l’ombre du « Petit livre vert », ne s’arrêtera pas en si bon chemin. L’organisateur des soirées de Silvio va (...)