Tous les débats sur le statut des islamistes dans la nouvelle Egypte (d’après le 25 janvier 2011) font peu de sens s’ils sont fondés sur les mêmes données qui étaient utilisées, auparavant, pour étudier les mouvements religieux ; et encore moins s’ils ignorent le fait que l’Egypte a connu une révolution qui a détruit beaucoup des anciennes caractéristiques de sa scène religieuse.
La révolution n’était pas dirigée seulement contre le pouvoir autocratique, (...)