Les avocats des familles de disparus français sous la dictature chilienne ont exprimé leur "frustration" après le décès d’Augusto Pinochet, jugeant que "la colère des familles" face aux lenteurs judiciaires s’exprimera désormais "avec encore plus de raison". "Ma réaction est celle d’une frustration", a déclaré Me Sophie Thonon "car il semblait aller mieux et (...) je m’étais dit qu’il pouvait encore vivre quelques mois, voire quelques années", le temps (...)