Contrairement à la plupart des prédictions, le soulèvement égyptien a été amorcé et dirigé par des coalitions – dont des partis politiques, des associations et des réseaux internet – dominées par des forces laïques et démocratiques. Les organisations islamiques ou leurs membres individuels ont participé sur un pied d’égalité avec des groupes qui n’avaient qu’une importance marginale avant le soulèvement et des groupes plus proches des dissidents de (...)