Ancien président de l’association Enfants de Tchernobyl-Bélarus, aujourd’hui professeur émérite à l’université de Bâle, Michel Fernex relève, lors de l’accident de Tchernobyl comme actuellement à Fukushima : une « étrange absence » de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Médecin tropicaliste à l’OMS, il mène une carrière paisible nourrie d’idéaux, jusqu’à ce qu’il découvre fortuitement l’accord qui lie son institution à (...)