jeudi 23 juin 2011
par Hélène Franco, animatrice de la commission "Justice et libertés" du PG
La France ébahie a, dans les jours suivant le 15 mai, découvert (ou parfois reçu la confirmation) qu’aux Etats-Unis, la puissance et l’argent ne protègent pas des outrages policiers et judiciaires mais aussi que les procès américains sont bien loin de prémunir contre l’injustice.
Le système pénal états-unien, dit "accusatoire", repose sur l’idée d’un juge-arbitre se prononçant en fonction des preuves et arguments avancés par les parties (l’accusation (...)