Depuis le 8 mai 1945 et les massacres de Sétif, l’idéal d’indépendance germe en Algérie. Il finit par éclore à la Toussaint 1954. Cette guerre qui ne dit pas son nom se termine à Evian, le 18 mars 1962.
Dès le début, les cinéastes s’emparent du conflit. Vautier, Panigel, mais aussi Godard et Cavalier. Mais la censure veille, et peu nombreux sont ceux qui voient, à leur sortie, Le combat dans l’île ou Algérie en flammes. Toute ambition de faire connaître ici ce qui (...)