mercredi 31 août 2011
par François Cocq , Secrétaire national à la politique territoriale et à l’éducation
On savait que Martine Aubry s’était ralliée à l’aberrante réduction du déficit à 3% dès 2013. Ce nouveau dogme de la dette lui sert aujourd’hui de prétexte pour refuser de donner à l’éducation nationale les moyens pour répondre aux nécessaires ambitions d’émancipation individuelle et collective et de transformation sociale, écologique et démocratique.
Dans Le Parisien-Aujourd’hui en France daté du 25 août, Martine Aubry affirme en effet qu’il (...)