Le coup de force a réussi. En une semaine, plus de referendum et plus de Papandreou. Après s’être laissé un temps dicter sa date et la question posée, le premier ministre grec a dû abandonner en hâte le referendum puis le pouvoir. Chacun de ses reculs apeurés a préparé le suivant jusqu’à la chute.
Au terme de cette débandade éclair, le voici comme nous le pronostiquions mardi dernier remercié au profit d’un gouvernement d’union nationale. La démocratie recule encore (...)