Et deux de plus. Après l’irlandais, vite oublié, avant peut-être l’espagnol à l’issue de ce dimanche électoral, les premiers ministres grecs et italiens ont du faire leur valise. Cela ressemblerait presque à un « qu’ils s’en aillent tous » européen. Sauf que faute de révolution citoyenne capable d’arrêter leur offensive, ce sont les spéculateurs privés qui font tomber les gouvernements pour mieux rester, eux, bien en place.
Il faut étudier sérieusement (...)