Le théâtre Algérie semble servir de scène à une lutte politique qui opposerait un courant dit nationaliste à un courant dit islamiste et à côté desquels gigoterait un courant dit démocratique à la recherche de ses marques. Les trois courants (le troisième dans une mesure moindre) ont cependant un point en commun : leurs discours semblent, à quelques nuances près, interchangeables.
Or dans la mesure où leurs discours sont quasiment interchangeables, leurs intérêts ne peuvent en aucun cas (...)