Décidément, ce printemps arabe frappe fort. Voici maintenant l’Arabie saoudite qui est touchée par des manifestations. Elles ne dureront peut-être pas vu la nature extrêmement répressive et arriérée du régime mais elles germeront dans les têtes.
Saoud el Fayçal, a déclaré hier, d’une voix et sur un ton qui dénoncent clairement l’usage de stupéfiants, que le changement ne devait pas se faire par des manifestations "mais par le dialogue" et qu’il "couperait la main" (...)