La situation politique et sociale est explosive au Maroc autour de l’anniversaire du mouvement du 20 février (M20) face à un pouvoir répressif aveugle qui criminalise les luttes : émeutes dans villages et villes, diplômés chômeurs bloquant des avenues, d’autres s’immolant (dont Abdelwaheb Zeidoun décèdé le 24 janvier), étudiants ‘basistes’ de l’UNEM (Union Nationale des Etudiants du Maroc) incarcérés à Fès et Taza et en grève de la faim dont un, Ezzedine (...)