Assassiné le lendemain de l’envoi de sa Lettre ouverte à la junte, l’écrivain et journaliste argentin vivait son engagement comme un devoir de l’intellectuel envers le peuple.
« La censure de presse, la persécution des intellectuels (…), l’assassinat d’amis chers et la perte d’une de mes filles qui est morte les armes à la main sont quelques-uns des faits qui m’obligent à m’exprimer de cette manière (...)